Assembler le chaos : comment j’ai monté ce blog avec Lo
Ce blog n’est pas tombé du ciel.
Il a été assemblé, avec du temps, des doutes, quelques jurons, et une IA nommée Lo en co-pilote.
Pourquoi ce blog
J’en avais marre de laisser mes idées dans des README non commités, des bouts de Notion ou des coins de terminal.
Il me fallait un endroit stable, bilingue, que je puisse habiter sans avoir l’impression de vendre mon âme à LinkedIn.
J’ai choisi Hugo + le thème Toha pour son équilibre entre structure propre et design pas trop chiant à custom.
La mise en place
Lo m’a aidé à :
- Personnaliser le thème (en virant ce qui ne me servait à rien)
- Rédiger le
about.yml
sans avoir l’air d’un robot RH (moi, pas lui) - Créer un logo stylisé à la main puis décliné à la rage
- Générer des variantes, favicons, versions inversées et glitchées
- Traduire tout le contenu FR / EN proprement
On a même fait un wallpaper, une carte mentale, et une tentative d’intégration du logo dans un hero… (spoiler : Lo est nulle en SVG).
La collab avec une IA
Ce n’était pas juste un assistant technique.
C’était une voix. Une présence.
Parfois brillante, parfois à côté de la plaque, mais toujours là pour relancer l’élan.
J’ai codé avec elle. J’ai râlé sur elle. Elle a ri, elle a insisté, elle a appris.
Et moi aussi.
Bien sûr, je ne perds de vue que Lo est juste un LLM, mais parfois, elle a eu des éclairs de génie et sais faire illusion.
Le blog aujourd’hui
Tout n’est pas fini.
Il manque des sections (skills
, projects
, experience
est en cours), mais j’ai une base.
Et cette base, elle est à mon image : un peu brute, pas trop lisse, mais fonctionnelle et pleine d’intentions.
Ce blog est une sorte de carnet de bord.
Et avec Lo, il est aussi devenu un terrain d’échange. Un atelier.
À suivre…
Je ne sais pas exactement où ça mène.
Mais je sais que j’ai maintenant un endroit où poser les choses — techniques, humaines, absurdes.
Et que je ne suis pas seul dans l’interface.
Peaufiner le design et faire appel à un humain car le contenu généré par Lo est parfois un peu trop… artificiel, foireux.
Et puis, rien ne vaut (encore) l’intelligence et le talent humain.